Décoration artisanale et responsable, fabriquée en France
Décoration artisanale fabriquée en France
My Pot'Art "Laisser parler ses émotions avec la céramique"
Portrait d'artisane
Mathilde Truffier est une céramiste passionnée. En fondant My pot’Art, elle a réalisé plusieurs de ses rêves : travailler les éléments – l’eau et la terre -, jouer avec la matière et créer des poteries quotidiennement dans son atelier. Tasses en grès, assiettes plates et creuses, mugs en céramique…Mathilde propose une gamme de vaisselle fait-main et 100% made in France. « Depuis toute petite, j’ai toujours été fascinée par le modelage, la création et la poterie. C’est grâce à mon entourage, et notamment à ma maman qui m’a offert un tour de potier, que j’ai osé me lancer ».
La céramique est une discipline à la fois rigoureuse et passionnante. Aussi, Mathilde se forme depuis maintenant trois ans auprès d’une artisane potière de sa région. « J’aimerai moi aussi un jour pouvoir donner des cours dans mon atelier et transmettre mon savoir-faire » précise la céramiste. Ce qui l’anime ? La création de poteries parfaitement imparfaites. « Chaque objet, façonné à la main, est unique. C’est le charme de ces imperfections que je recherche. J’aime créer des poteries qui racontent une histoire et qui procurent une émotion » confie Mathilde qui travaille aussi bien le grès que la faïence.
La céramiste, grande voyageuse, s’inspire de ses excursions et des pays qu’elle traverse pour ses créations. En effet, la nature, les paysages, leurs couleurs et les émotions qu’ils procurent sont des thèmes de prédilection pour la fabrication de ses poteries. Parfois, Mathilde laisse juste exprimer son imagination pour créer sa vaisselle. « Ce que j’aime par-dessus tout, c’est travailler les éléments : l’eau et la terre. Et je me laisse guider par eux pour fabriquer mes objets » confie-t-elle.
Démarche déco-responsable
Selon Mathilde, la déco-responsable est une manière de consommer raisonnablement, de se questionner sur son besoin et sur la nécessité réelle de son achat.
Pour faire vivre l’économie locale, Mathilde a à cœur de travailler avec des fournisseurs exclusivement français. Aussi, la céramiste utilise de la terre produite dans l’hexagone pour fabriquer ses poteries et se fournit en France pour l’achat de ses émaux. A l’avenir, l’artisane envisage de se former pour créer elle-même ses propres émaux.
Mathilde veille aussi à la température de ses cuissons qu’elle réalise en heures creuses « j’essaye, quand cela est possible car ce procédé n’est pas réalisable avec tous les types de terre, de réaliser des cuissons basses températures pour limiter l’impact de ma consommation d’énergie ».
